les documents et les actes...
Pour étayer votre travail trans-générationnel vous voulez dresser ou étoffer votre arbre généalogique. Plus celui-ci sera parlant, plus il sera précurseur du génogramme et du génosociogramme.
Comment porter un autre regard sur les documents suivants :
- les actes d'état-civil
- les mentions marginales
- les photographies
Il existe un renforcement positif entre le travail généalogique et la démarche psychogénéalogique (analyse transgénérationnelle).
Mais que chercher, comment lire les actes, quels actes complémentaires rechercher en priorité, comment faire parler votre arbre généalogique ? C'est ce que nous allons mettre en évidence.
L'articulation entre généalogie et psychogénéalogie revêt plusieurs visages.
Il vous faut notamment découvrir les pistes, consolider sans brimer l'intuition, interviewer des proches et des moins proches, faire parler les photos et les documents.
Le tissu ancestral est très riche. Disons à nouveau qu'il n'est pas nécessaire de faire un travail généalogique important pour débuter votre investigation transgénérationnelle.
Selon le point de vue adopté, le vécu, votre prise de conscience de certains éléments déjà, vous modulerez l'ampleur de vos investigations...
La direction que suivront vos pas... qui d'expérience coïncide souvent avec des nœuds. C'est déjà fort instructif en soi ; et l'appétit vient en mangeant.
Ces pistes restent des pistes. Vous saurez découvrir vous-même où se trouve le point d'équilibre. Qui sait, la généalogie factuelle découvrira pour vous ses richesses et vous donnera envie d'approfondir cette démarche également.
De toute façon, vous découvrirez que la nature du travail d'analyse transgénérationnelle ou de psychogénéalogie est telle que les éléments-clés viendront à vous exactement au moment où vous serez prêt à les reconnaître et à les exploiter.
En cela réside la différence fondamentale entre la simple pratique des recherches généalogiques et l'investigation thérapeutique transgénérationnelle.